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Boycott des produits pro-Entité sioniste à Oman, une résistance solide
Les Omanais ont commencé à boycotter les marques occidentales des pays soutenant Entité sioniste depuis le déclenchement de la guerre israélienne contre la bande de Gaza le 7 octobre dernier, infligeant ainsi un coup supplémentaire aux produits qui étaient populaires dans le monde arabe et islamique.
Début du boycott
Le site web britannique « Middle East Eye » a cité une source gouvernementale omanaise – qui n’a pas été nommée selon sa demande – affirmant que le boycott avait commencé tôt pendant la guerre de manière spontanée et non organisée, avec une grande partie de la population omanaise y participant.
Il a ajouté qu’il y avait « un changement sur le marché, dans chaque produit de consommation de votre vie quotidienne… et même les marques omanaises en bénéficient. »
Impact sur les profits
En outre, la société Starbucks a annoncé des bénéfices et des revenus inférieurs aux attentes au premier trimestre de l’année, le PDG, Lakshman Narasimhan, déclarant aux investisseurs : « Nous avons vu un impact négatif sur nos activités au Moyen-Orient… Les événements au Moyen-Orient ont également eu un impact aux États-Unis, alimentés par des perceptions erronées de notre position. »
Les États-Unis ont fourni des aides militaires à Entité sioniste pour des milliards de dollars depuis le début de la guerre à Gaza après l’opération « Tornade de l’Al-Aqsa » contre la résistance palestinienne, tout en utilisant le veto contre 3 résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU appelant à un cessez-le-feu immédiat.
Conclusion
Selon le rapport du « Middle East Eye », il n’y a aucun signe que le mouvement de boycott à Oman prendra fin avant la guerre à Gaza. Jusqu’à présent, le changement sur le marché du Moyen-Orient ne semble pas revenir à ce qu’il était avant la guerre.
La source gouvernementale anonyme a déclaré : « Il y a un climat général contre tout ce qui est occidental ; même la liberté et la démocratie sont considérées comme hypocrites. Les gens disent que nous ne devons pas faire confiance à ces idées. »
Quelle est votre position sur cette résistance économique contre l’occupation israélienne ?