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Le 12 octobre, à l’occasion du Día de la Hispanidad, la présidente du Parti Populaire (PP) de Málaga, Patricia Navarro, a annoncé la création d’une nouvelle initiative : l’**Office pour la Liberté et la Démocratie**. Ce bureau sera dédié à l’accompagnement des réfugiés et exilés provenant de dictatures latino-américaines, notamment de ceux qui fuient le régime de Nicolas Maduro au Venezuela.
Un soutien pour les réfugiés latino-américains
À Málaga, près de 15 000 Vénézuéliens se sont installés en raison des conditions politiques et économiques difficiles de leur pays. En outre, la province accueille également plus de 33 000 Argentins et 20 000 Colombiens. Patricia Navarro a souligné l’importance de tendre la main à ces citoyens qui ont fui des régimes autoritaires, en affirmant que « le PP de Málaga souhaite réaffirmer son engagement envers la défense de la démocratie et des libertés fondamentales ».
Objectifs de l’Office pour la Liberté et la Démocratie
Ce nouvel office a pour but de fournir un soutien tant politique que juridique aux milliers de citoyens latino-américains établis à Málaga. En outre, il mettra en place un **Forum pour la Liberté** afin de sensibiliser et de lutter en permanence contre les violations des droits humains que subissent ces populations.
Un appel à l’unité et à la vigilance
Lors de son discours, Navarro a rappelé les liens historiques et culturels qui unissent les pays hispanophones, partageant une langue et des valeurs communes. Elle a déclaré : « C’est un jour pour réaffirmer notre engagement envers la liberté et la démocratie qui nous identifient ». Elle a également mis en exergue la nécessité de défendre avec vigueur les valeurs démocratiques face à la « cynisme » du gouvernement actuel de Pedro Sánchez.
La fragilité de la démocratie
Patricia Navarro a alerté sur le fait que la situation au Venezuela rappelle que « la liberté et la démocratie peuvent être fragiles ». Elle a insisté sur le fait que le PP est un parti déterminé à défendre les droits de tous les citoyens, affirmant que « ni la peur ni la pression n’ont leur place dans notre pays ».