Sommaire
La santé de la princesse norvégienne Mette-Marit, âgée de 51 ans, suscite de nouvelles inquiétudes. Le palais royal norvégien a annoncé qu’elle a dû reprendre des traitements en raison d’une aggravation de sa maladie pulmonaire.
Un diagnostic préoccupant
En octobre 2018, Mette-Marit a été diagnostiquée avec une fibrose pulmonaire, une maladie caractérisée par la formation de tissu cicatriciel dans les poumons. Cette condition limite la capacité des poumons à absorber l’oxygène, entraînant des symptômes tels que l’essoufflement et une détérioration progressive de la qualité de vie.
Les statistiques sur cette maladie sont alarmantes : l’espérance de vie médiane après le diagnostic est d’environ deux ans et demi, et moins de 30 % des patients survivent au-delà de cinq ans.
Un parcours difficile
Malgré le diagnostic, Mette-Marit a su maintenir une apparence en bonne santé pendant six ans, bien qu’il y ait peu d’informations sur l’évolution de sa maladie. Elle a exprimé son souhait de ne pas trop parler de sa condition, préférant éviter l’attention médiatique sur sa santé.
Impacts des traitements
Le palais royal a précisé que les médicaments prescrits à la princesse peuvent avoir des effets secondaires affectant ses engagements officiels. Ainsi, il est naturel de tenir le public informé des éventuels changements dans son emploi du temps.
Des défis personnels
En plus de ses soucis de santé, Mette-Marit fait face à des défis familiaux. Son fils, Marius, se retrouve dans des situations délicates, notamment en violant à nouveau une interdiction de contact avec son ancienne compagne.