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Dans un podcast diffusé récemment, Robert F. Kennedy Jr., nommé ministre de la Santé des États-Unis, a critiqué les habitudes alimentaires de Donald Trump, soulignant des choix alimentaires préoccupants. Cette déclaration intervient alors que Kennedy Jr. se prépare à entrer en fonction en janvier 2025.
Des critiques acerbes sur l’alimentation de Trump
Robert Kennedy Jr. n’a pas mâché ses mots en évoquant l’alimentation du président élu, qui, selon lui, est très loin des standards de santé. _«Ce qu’il mange est vraiment mauvais»_, a-t-il affirmé lors de son intervention au micro de Joe Polish, révélant ainsi son inquiétude pour la santé publique.
Le nouveau ministre de la Santé a évoqué des repas typiques, tels que ceux servis à bord de l’avion de campagne de Trump, en les qualifiant de _«poison»_. Kennedy a précisé que les choix alimentaires se limitaient souvent à du KFC ou des Big Mac, et il a exprimé son dédain en déclarant que le reste était _«immangeable»_.
Le goût pour la malbouffe de Donald Trump
Le penchant de Donald Trump pour la restauration rapide est bien connu. En janvier 2019, il avait invité une équipe de football à la Maison-Blanche, se vantant d’un festin de hamburgers de chez McDonald’s. De plus, durant la campagne présidentielle, Trump s’était mis en scène en travaillant dans un McDonald’s en Pennsylvanie, un coup de communication qui lui est propre.
Les habitudes de consommation de Trump
Lors de l’interview, Kennedy Jr. a également mentionné les choix de boissons de Donald Trump. _«Il boit du Coca light»_, a-t-il révélé, ajoutant une anecdote partagée par Dana White, président de l’Ultimate Fighting Championship (UFC), qui a souvent passé du temps avec Trump. White a déclaré qu’il n’avait _«jamais vu Trump boire un verre d’eau»_, une remarque qui soulève des questions sur l’hydratation du président.
Un ministre controversé
Malgré ses déclarations controversées et son statut de complotiste reconnu, Robert F. Kennedy Jr. a réussi à obtenir ce poste clé au sein du futur gouvernement Trump. Sa nomination suscite déjà des réactions variées au sein du paysage politique américain, alors qu’il se prépare à aborder des questions de santé publique au moment où les États-Unis traversent une période de tensions politiques et sociales importantes.
