Sommaire
Sean Combs, connu sous le nom de Diddy, est accusé d’agression sexuelle par un homme de 39 ans, selon une nouvelle plainte déposée mardi soir. L’incident aurait eu lieu lors d’une fête organisée par Combs dans une grande maison à New York en 2022.
Détails de l’accusation
Le plaignant anonyme, qui réside désormais en Géorgie, a déclaré qu’il avait assisté à la fête avec des amis et avait consommé de l’alcool fourni par d’autres invités. Selon la plainte, après avoir bu, il a commencé à se sentir désorienté et à perdre le contrôle de son corps, avant de perdre connaissance.
Expérience traumatisante
À son réveil, le plaignant affirme qu’il se trouvait dans une chambre sombre, sur un lit avec des draps noirs, et a été horrifié de découvrir Combs au-dessus de lui en train de le sodomiser. Cette accusation s’inscrit dans un schéma similaire à d’autres plaintes anonymes contre Combs, représentées par des avocats spécialisés dans les blessures corporelles.
Un autre plaignant, qui était acteur à la fin des années 1990 et au début des années 2000, a également allégué avoir été agressé sexuellement après avoir été attiré à New York pour un potentiel rôle dans un clip musical. Il a déclaré avoir reçu un soda contenant une substance qui l’a fait perdre connaissance.
Agression d’une mineure
Une troisième plaignante, qui avait 17 ans en 2004, a affirmé avoir été agressée par Combs lors d’une fête du 4 juillet dans les Hamptons. Selon sa plainte, Combs et deux de ses gardes du corps l’auraient menacée, lui affirmant qu’elle serait en danger si elle parlait de ce qui s’était passé.
Réactions des avocats de Combs
Les avocats de Combs ont réagi aux accusations, en déclarant que la plainte pour extorsion déposée contre l’avocat Tony Buzbee révélait la nature des poursuites contre Combs, les qualifiant de manœuvres médiatiques visant à extorquer des paiements de célébrités craignant d’être couvertes de mensonges.
Concernant les allégations d’agression sexuelle, ils ont affirmé que Combs avait pleine confiance dans les faits et l’intégrité du processus judiciaire, soutenant qu’il n’avait jamais agressé sexuellement ou trafiqué qui que ce soit, qu’il s’agisse d’hommes, de femmes, d’adultes ou de mineurs.