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Le Championnat Valspar a connu des moments intenses au cours de sa troisième ronde, avec une triple égalité en tête, réunissant Viktor Hovland, Jacob Bridgeman et Nico Echavarria.
Performances des leaders
Viktor Hovland a su maintenir sa constance malgré un samedi rempli de rebondissements, se plaçant en tête aux côtés de Bridgeman et Echavarria avec un score total de 206 (moins-7). Hovland a terminé sa ronde avec une carte de 69.
Jacob Bridgeman, pour sa part, a montré un courage remarquable lors de sa première expérience en tête après 36 trous. Bien qu’il ait perdu quatre coups au tournant, il a réussi à se ressaisir pour rendre une carte de 70 (moins-1).
Nico Echavarria, vainqueur au Japon l’automne dernier, a réalisé une performance sans bogey, terminant avec un impressionnant 66. Les trois joueurs se retrouvent à égalité, surveillés par une vingtaine de concurrents.
Les prétendants à la victoire
Parmi les poursuivants, Justin Thomas a connu une excellente journée, jouant 30 sur les neuf derniers trous pour finir à 65, sa meilleure ronde sur le parcours Copperhead, se plaçant à seulement deux coups des leaders.
Jordan Spieth a également diverti les spectateurs avec son jeu audacieux, réalisant deux oiselets mais ratant quelques roulés pour la normale, terminant à 67, à quatre coups des meneurs.
Le Canadien Corey Conners, au score de moins-4, est le seul représentant canadien encore en lice dans ce tournoi, tandis que Byeong Hun An, malgré des difficultés en fin de parcours, reste dans la course avec un score de moins-6.
Réactions des joueurs
« C’est amusant d’être dans la course, mais c’est un peu plus stressant quand on n’est pas très à l’aise avec la balle », a déclaré Hovland, soulignant la pression de la compétition. Il a ajouté que voir ses roulés rentrer et la balle se rapprocher du trou était une source de satisfaction.
Concernant Echavarria, ce dernier a exprimé qu’il ne s’attendait pas à partager la tête tout en reconnaissant les défis que représente le parcours : « Il faut très bien frapper sa balle ici. Il faut atteindre les greens. C’est difficile autour des greens », a-t-il indiqué.
Bridgeman, joueur de deuxième année, a lui aussi fait preuve de résilience, remontant après un début difficile : « J’ai juste joué du mieux que je pouvais », a-t-il commenté, confiant dans sa capacité à se concentrer sur son jeu.